Notre expertise est nationalement reconnue. En effet, nous avons créé un observatoire de recherche pour étudier les accidents de la vie courante (AcVC) alors même que ce sujet était méconnu de tous. Cet observatoire de recherche réalise une veille constante et alimente notre large base de données en chiffres concrets. Ces données sont recueillies par nos équipes d’experts composées de professionnels et d’universitaires. Nous nous appuyons ensuite sur ces données pour trouver des solutions adaptées aux entreprises et collectivités qui font appel à nous.
Nos deux observatoires alimentent nos études. Ils donnent aux industriels les clés pour adapter leurs produits et nous aident à comprendre comment agir face aux AcVC. Ils nous permettent également de savoir, avec précision, ce qui fait que certaines catégories de personnes sont plus vulnérables face aux AcVC.
Santé publique France est le premier établissement à avoir mis en place une base de donnée : l’EPAC (Enquête Permanente sur les Accidents de la Vie Courante). Nous nous sommes associés à cet outil pour construire une base de données commune. L’EPAC répertorie les accidents les plus graves. Elle est alimentée principalement par des services d’urgence.
Calyxis vient compléter cette source de données avec celles extraites des éléments envoyés par nos assureurs partenaires sur des AcVC moins graves. Le but ? Avoir une base de données complète pour mieux protéger la population, car cette collaboration avec Santé Publique France a une visée et une visibilité nationale.
Depuis 18 ans, plus de 50 000 lignes d’accidents ont été recensées.
Pour être encore plus pertinents, nous nous sommes tournés vers l’INSERM pour créer une cohorte sur un site internet : Mavie. Sur cet observatoire en ligne, les Français peuvent s’inscrire pour raconter leur vie et leurs sinistres. Ce sont eux qui alimentent l’outil.
Le but ? Remonter aux facteurs de risques, trouver pourquoi un accident a eu lieu et déterminer pourquoi certaines populations sont plus à risque que d’autres. Nous n’agissons pas sur cette base de données. Elle sert uniquement à constater les accidents et à faire avancer nos études et nos solutions de prévention
Au dernier recensement, 14 500 personnes sont inscrites sur Mavie, mais nous avons déjà atteint les 27 500 par le passé.